Juste un mot pour compléter : dans ces cas-là, on a tendance à minorer la rémunération du travail et à faire porter sur la part dividendes la rémunération la plus importante.
Avec un taux de fiscalité de plus de vingt points d'écart, on peut se demander où est la morale dans cette affaire. Nous souhaitons pour notre part rapprocher la fiscalité du travail de celle de la richesse générée par le patrimoine. C'est pour cette raison que l'amendement suivant tend à fixer un plafond, acceptable, de 150 000 euros par part. Puisque nous cherchons toujours une convergence franco-allemande, ce serait un moyen de nous rapprocher de nos voisins.