Pourquoi ? demande-t-il ! Je vous rappelle, cher collègue, que vous avez raconté, en commission des finances, il y a une dizaine d'années, comment on allait distribuer les pensions aux veuves de nos agents secrets.
Évidemment, comme l'a dit le rapporteur général, c'est de l'histoire ancienne et, d'une certaine manière, ce soir, on pose la pierre tombale, mais il reste à faire l'autopsie ! Cela pose la question du secret défense et de toutes les combinazione qu'il y a dans le commerce des armes et de tous les produits périphériques. Et cela continuera, contrairement à ce qu'a dit récemment le Premier ministre, selon lequel la dernière affaire de cette nature remontait sûrement au temps de M. Balladur – je veux parler du Pakistan. Cela prouverait que le Premier ministre est naïf, mais je n'y crois pas ! je crois plutôt qu'il accompagne les pratiques en la matière.