Rassurez-vous, monsieur le président, votre lucidité n'est en rien altérée. En effet, je n'avais pas demandé la parole, mais, par respect pour le président de la commission des finances, je vais répéter ce que j'ai dit tout à l'heure. Que ce soit sur les objectifs ou sur la préparation du projet de loi de finances pour 2012, je ne veux pas prendre d'engagement. Non pas que, sur le fond, nous ne puissions pas avoir un débat de qualité qui permette de respecter nos objectifs en matière de réduction des déficits, mais le moment n'est pas venu.
(L'amendement n° 419 n'est pas adopté.)