Je crois que c'est de bonne méthode. Toutes les organisations internes de l'Assemblée nationale sont confrontées à la difficulté du passage d'une législature à l'autre. Si nous ne préparons rien, il s'ensuit un départ arrêté qui rend la première année peu productive. Si nous anticipons un programme, nous prenons en revanche un risque par rapport à ce que nos successeurs décideront de faire. La deuxième solution nous paraît néanmoins la meilleure et nos groupes pourraient proposer un ou deux sujets sur lesquels il serait permis à nos successeurs, quels qu'ils soient, de travailler sans délai.