Nous avons reconnu, au moment de la mise en oeuvre de la loi TEPA et de l'amélioration du bouclier, avec son passage de 60 % à 50 %, que la restitution par le Trésor au moyen d'un chèque constituait, vis-à-vis des contribuables, un « vice de forme technique » – je crois que telle était l'expression du rapporteur général. Avec l'autoliquidation, on rentre dans un schéma normal.