Mon intervention sera beaucoup plus courte que celle de Mme Filippetti, monsieur le président.
Ce qui est vraiment détestable avec nos collègues de gauche, c'est que pour eux, il n'y a que deux sortes de familles : d'un côté, les familles pauvres, de l'autre, les familles riches – sur lesquelles on crie haro, évidemment. L'honneur de la politique familiale française, c'est son côté universel : les allocations familiales sont versées à toutes les familles, quel que soit leur niveau de revenus.