Je constate que ma fille, comme des centaines de milliers d'enfants, est donc passée de vingt-six heures d'éducation à vingt-quatre heures. Il s'agit de réduire le nombre de postes et, par conséquent, le service public de l'éducation nationale. On a trouvé l'alibi d'ajouter quelquefois, pour quelques enfants, deux heures supplémentaires.