Mesdames et messieurs, je n'entrerai pas dans la petite polémique introduite par le secrétaire d'État et même par le président de la commission des affaires européennes car je pense que ce n'est pas du niveau de notre débat.
À l'heure où nous parlons, le Bundestag à Berlin débat d'une résolution identique. Ces résolutions ont été déposées à l'initiative du groupe socialiste de l'Assemblée nationale de notre pays et du groupe social-démocrate du Parlement allemand. Nous avons considéré que le temps des velléités devait céder la place à celui de la volonté.
La crise financière a, en tout cas il faut l'espérer, ouvert les yeux de tous.