Je sais que de son côté, mon ami Pierre Lequiller, président de la commission des affaires européennes, qui inlassablement promeut les idées de la France auprès des instances parlementaires des pays de l'Union, a été, lui aussi, très heureux de cette initiative venue des rangs de l'opposition.
Je ne vous cacherai donc pas ma surprise lorsqu'il m'a été rapporté qu'après avoir déposé ce texte, le groupe SRC n'a pas souhaité voter sa propre résolution, aussi bien en commission des affaires européennes qu'en commission des finances.