Face à ce défi, nous aurons besoin de nous appuyer sur l'Europe et en particulier de maintenir une étroite coopération avec l'Allemagne, comme nous l'avons fait depuis 2010.
Sur ce sujet de la taxation des transactions financières comme sur beaucoup d'autres, le climat ou le commerce international, l'issue dépendra donc notamment de notre capacité à obtenir des nouvelles puissances émergentes qu'elles soient pleinement parties prenantes de l'effort collectif pour la stabilité globale du monde.