À terme, il craint pour la pérennité de son activité et l'emploi de ses quinze salariés. Les changements de règles fréquents, dit-il, rendent impossible un développement serein, anticipé et lisible de l'activité de son commerce.
Il me reste aussi de cette table ronde le silence des patrons de PME de l'agro-alimentaire, qui ont finalement choisi de me parler quelques jours plus tard sans la présence des représentants de la grande distribution. Ces craintes de représailles sont, me semble-t-il, révélatrices de la pression que connaissent les fournisseurs.