La capacité et la volonté d'investir des opérateurs iront en s'atténuant. Mais on a l'impression que la question est taboue, et qu'il va falloir attendre cinq ans pour se poser la question : que va-t-on faire pour plusieurs dizaines de millions de foyers ou d'entreprises ?
Deuxième principe : une utilisation optimale des ressources numériques communes. Le dividende numérique, dont le Premier ministre aura à répartir les fréquences dès cette année, c'est un domaine public qui doit être mis au service de l'économie. Qu'une part suffisante soit destinée au développement des réseaux hertziens pour l'Internet rapide est absolument nécessaire.
J'en viens au troisième principe d'action, et vous devriez y être sensible.