Cette réforme, dont le calendrier a été accéléré de façon imposée, aura un fort impact sur le budget de la justice, et je crains que celui-ci ne soit pas suffisant. Il ne faudra donc pas oublier de l'abonder lors de la prochaine loi de finances.
Ces remarques étant faites, je dirai que l'architecture générale de ce texte est incontestablement moderne et conforme aux réalités économiques actuelles. Les ouvertures de crédits sont intégralement gagées par des redéploiements et ne modifient pas substantiellement l'équilibre du budget 2011. Nous ne pouvons que nous en féliciter. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)