Nous nous félicitions que le Gouvernement se soit enfin rendu compte que ce cadeau fait aux plus riches de nos compatriotes – quelques milliers à peine – était absolument indéfendable. Je m'interroge néanmoins sur la raison qui a poussé Mme Lagarde, il y a quatre ans, à ne pas voir ce bouclier fiscal comme inutile lors de son instauration ici même, alors qu'elle était elle-même au banc du Gouvernement, à votre place, monsieur le ministre, pour le défendre devant nous.