… et ramener de 1,8 à 0,5 la tranche payée par les plus fortunés !
Vous avez l'audace, le culot – passez-moi ce mot un peu populaire, rustique, je vous l'accorde, monsieur Chartier – de prétendre qu'il s'agit d'une oeuvre de justice. Non, il ne s'agit pas de faire oeuvre de justice mais de réparer l'impasse dans laquelle vous vous étiez mis avec la loi TEPA qui commençait à faire des dégâts énormes dans la majorité. Le Président de la République a fini par comprendre – il lui aura tout de même fallu quatre ans ! – qu'il ne pourrait porter ce poids jusqu'à la prochaine élection présidentielle.
À ce moment-là vous avez constitué un groupe de travail – avec la représentation nationale avez-vous dit, monsieur le ministre : non, seulement avec l'UMP. Certes, l'UMP, c'est important dans la représentation nationale, mais on ne peut pas encore les traiter à égalité, et prendre l'un pour l'autre !