Cela nous ramène à votre réforme. Vous aurez beau dire et faire ce que vous voudrez, tout le monde a compris votre objectif : essayer de réparer la faute originelle, cette fameuse loi TEPA que vous avez défendue à cette tribune avec une fougue extraordinaire, monsieur Carrez, nous expliquant que c'était le fin du fin, le mieux du mieux, le best du best. C'était déjà juste, le bouclier fiscal !
Je n'ai pas eu le temps ni la curiosité d'aller rechercher toutes les formules fougueuses que vous nous avez servies à la tribune.