Vous avez raison : je comprends qu'on ne puisse pas faire son autocritique à tout moment.
Avant d'en venir à votre réforme fiscale, je voudrais dire deux mots sur l'actualité européenne en matière de dettes souveraines. Après tout, n'est-ce pas Mme Lagarde qui a abordé le sujet ?
Monsieur le ministre, je ne comprends pas ce qui se passe, je ne vois pas où nous allons, je ne sais pas ce que nous faisons. J'ai le sentiment que la France et d'autres pays européens pratiquent la politique de l'autruche.