Il est vrai que les élus, les collectivités locales et les associations ont la possibilité de s'exprimer durant la phase de concertation, et de formuler des préconisations afin que la ligne à grande vitesse s'insère le mieux possible dans le paysage, en évitant un certain nombre d'habitations. Ce que je souhaite, monsieur le secrétaire d'État, c'est que le Gouvernement entende ces préconisations, qu'il les annexe à l'approbation du tracé lorsque l'arrêté ministériel sera pris, et apporte des garanties suffisantes à la population tarn-et-garonnaise concernée et, plus largement, aux habitants de la région Midi-Pyrénées.