En 2004, j'étais déjà motivée par les problèmes liés au travail partiel. Aujourd'hui, je le suis davantage encore, car la situation ne s'est pas améliorée. Nous devons même nous attendre à d'énormes difficultés, au fur et à mesure que ces salariés prendront leur retraite. Je pense notamment à la génération des femmes qui ont choisi de travailler à temps partiel, tout de suite après les lois Aubry.
Lorsque nous l'avions auditionnée, Mme Milewski nous avait parlé d'un article traitant des effets de la crise sur les femmes…