Au moment de la crise, lorsque les salariés – majoritairement des hommes – de l'industrie se sont retrouvés au chômage partiel, ils ont été indemnisés. Mais pour la plupart des femmes, le travail à temps partiel n'est qu'une forme de chômage partiel pérenne, dans la mesure où l'on ne leur propose rien de mieux. Pourquoi ne bénéficieraient-elles pas du même type d'indemnisation ?
Avec la loi TEPA, il est plus avantageux de proposer des heures complémentaires défiscalisées que d'augmenter le temps de travail à temps partiel. Pourquoi ne pas majorer les heures complémentaires, à l'instar des heures supplémentaires ?