…ce qui vous permet en outre d'organiser le recul de leur scolarisation : seulement un sur cinq maintenant contre plus d'un sur trois jusqu'en 2001.
Vous souhaitez attirer les meilleurs talents en embauchant des contractuels, dites-vous. Que peut un jeune licencié sans formation professionnelle face à une trentaine d'élèves ? Ne vous en déplaise, enseigner est un métier, le plus beau, disait-on.
Notre école a besoin, pour répondre au défi de ceux qui n'ont que l'école pour apprendre, d'être transformée comme le proposent les députés communistes et du parti de gauche (Exclamations sur les bancs du groupe UMP), mais certainement pas d'être saccagée comme vous le faites actuellement.
Monsieur le ministre, pensez-vous vraiment que c'est à coup de publicité que vous allez sauver le service public de l'éducation ? (Applaudissements sur les bancs du groupe GDR.)