Une dernière question si vous le permettez : nous avons évoqué la part de l'aide publique au développement dans notre PIB autour de 0,5%. Une part non négligeable de notre aide est constituée d'abandon de dettes. Ne craignez-vous pas que les dettes résultant des prêts garantis par l'Etat que vous accordez, comme en Côte d'Ivoire par exemple, ne soient in fine abandonnés par l'Etat ?