On sait que notre APD a une architecture très complexe et différents pilotes. Il y a aujourd'hui un seul contrat d'objectifs et de moyens, mais aussi plusieurs tutelles. Qu'en est-il de la marge de manoeuvre de l'agence, dans ses choix stratégiques, compte tenu des rôles du CICID, du MAEE, de Bercy ? Par ailleurs, où en est la question des dividendes sur laquelle la commission des affaires étrangères a pris position la semaine dernière. Enfin, l'aide bilatérale à Afrique subsaharienne augmentera-t-elle ? Qu'en est-il ?