Il ne faut pas jouer avec ça, monsieur le rapporteur. J'ai voté contre l'interdiction, et je me suis prononcé clairement pour l'autorisation. Et je vais sans doute modifier mon vote final, compte tenu de ce qui se passe en deuxième lecture. Comme cela, ce sera clair. Je l'annonce maintenant.
Certains arguments, en effet, me surprennent. M. le rapporteur citait Jean-René Binet, maître de conférences à la faculté de droit de Besançon. L'utilisation de ses propos n'est pas très honnête.