Il faut laisser la liberté à la femme de choisir si, en son âme et conscience, et avec son amour pour l'enfant à venir, elle se sent apte à donner cette vie.
Regardons en face ce que sont les familles de notre temps plutôt que de s'intéresser à celles du XIXe siècle. Combien d'enfants sont élevés aujourd'hui seulement par leur mère ou par leur père ? Ils ne sont pas malheureux pour autant.
J'ai entendu dire tout à l'heure que ce serait choisir le malheur pour l'enfant.