L'article vise à répondre à des situations qui sont forcément exceptionnelles, mais où interviennent – on l'a évoqué et M. le rapporteur, que nous suivons dans ce domaine, en parle régulièrement – des rapports de filiation et des rapports affectifs, bref la force de l'amour. Nous devons être sensibles à cette demande et accéder au souhait qui est formulé. En ce qui me concerne, je soutiendrai donc bien évidemment la disposition qui est inscrite actuellement dans notre projet de loi, et qui, je l'espère, continuera d'y figurer.