Non, il n'a pas été condamné, et je vous prie de ne pas évoquer des faits ayant fait l'objet d'une décision de justice, qui n'a pas condamné les personnes.
Pour la stabilité de notre texte, il me semble que l'aide médicale à la procréation ne doit être offerte qu'à des couples médicalement stériles. On dispose alors d'une vision simple : c'est en cas de stérilité que l'on peut avoir recours à la médecine pour aider les couples.
Je ne suis pas opposé à ce que, ultérieurement, dans un contexte différent, nous débattions de l'homoparentalité sur le plan sociétal, et que nous nous interrogions pour savoir si un couple homosexuel peut adopter un enfant, bien que pour ma part, je sois très réticent à cette idée, pour des problèmes liés à l'intérêt de l'enfant.
Pour autant, ce n'est pas dans ce texte que le problème doit être évoqué, mais dans un texte traitant de la famille, des familles monoparentales, de l'organisation de la société, et ainsi de suite. Il ne faut pas demander à la médecine de régler des problèmes de société.