Je réponds là à votre objection quant à une éventuelle mise en cause des médecins français.
Enfin, monsieur le rapporteur, ces actions relevant du secteur public, toute la chaîne est publique. Mais que se passera-t-il, lorsque le prélèvement et la préparation de l'ovocyte se feront dans un établissement privé ? Ce que nous craignons, vous le comprenez bien, c'est que les patientes allant dans cet établissement ne soient favorisées par rapport à celles qui iraient dans un établissement public et qu'il n'y ait plus de mise en commun des ovocytes. Il est important d'avoir des précisions.