Non, madame Boyer, ce n'est pas ma façon de raconter ! Je vous explique ce qui s'est passé sur le terrain et ce que nous avons vécu. Et cela n'est pas normal.
Même s'il n'y avait qu'un seul cas de ce genre en France, j'affirme que ces pratiques doivent rester la prérogative d'un secteur à but non lucratif.