Il est dommage d'en faire une obligation. Quand la situation se présente, les médecins diffusent cette information. Personnellement, je fais confiance aux professionnels. Dans les bonnes pratiques, ils savent répondre aux préoccupations des femmes qui s'engagent dans une démarche de procréation médicalement assistée.
Je m'en remets donc à la sagesse de l'Assemblée.