Voilà pourquoi nous nous sommes réjouis que le Conseil des droits de l'homme ait décidé – sur notre suggestion – d'envoyer une commission d'enquête internationale en Côte d'Ivoire afin d'établir la matérialité des faits évoqués par Amnesty International.
Par ailleurs, nous avons demandé au président Ouattara, qui l'a fait à de nombreuses reprises, notamment samedi dernier à Yamoussoukro, dans son discours d'investiture, de s'engager à n'assurer l'impunité à personne (Murmures sur les bancs du groupe SRC) et à engager les poursuites qui se révèleraient nécessaires contre les auteurs des crimes, quels qu'ils soient. Notre position est donc parfaitement cohérente.