Je crois donc qu'il faut aller au fond des choses, c'est-à-dire s'interroger sur un certain nombre de courriers diffusés par le LEEM – Les entreprises du médicament. Aller au fond des choses, cela peut aboutir à disculper tout le monde. Mais encore faut-il que l'on aille au fond des choses, que l'on sache ce qui se passe, que l'on ne reste pas dans cette incertitude. Ce serait le meilleur service à rendre à la qualité de nos débats.
Je souhaite que nous y allions conjointement, collectivement, de manières diverses et variées. Je suis convaincu qu'il y a peut-être des gens à gauche aussi qui s'interrogent sur les méthodes d'un certain nombre de ces groupes.
Monsieur Claeys, l'adjectif que vous avez employé à l'égard de notre collègue Nesme ne vous ressemble pas du tout. Il me semble déplacé de votre part. J'espère que vous aurez la délicatesse de le retirer.