Je n'ai pas le sentiment d'être dessaisi de quoi que ce soit. Les projets concernent également l'Industrie, l'Environnement, l'Energie ; ils impliquent d'accélérer l'ouverture entre public et privé, ce qui permet d'espérer une dynamique exceptionnelle, de même que l'articulation entre nos budgets récurrents et les crédits exceptionnels dont il s'agit aujourd'hui. Après les recommandations émises par les comités de pilotage par action, le Commissariat général à l'investissement forme une proposition qu'il soumet à la signature du Premier ministre. Le processus, qu'on pouvait craindre complexe, est parfaitement maîtrisable et vertueux. C'est donc l'occasion accélérée de mieux articuler les relations interministérielles sur des sujets d'avenir.