Je veux exprimer ma satisfaction à propos de cet article relatif à la réserve sanitaire, que nous avons construite, ainsi que l'EPRUS, il y a deux ans, à la suite de la première pandémie H5N1, mais qui n'a pas fonctionné comme nous l'aurions souhaité au moment de l'épidémie de grippe H1N1.
Il est donc logique de modifier certains mots, certaines expressions. L'article 10 est parfaitement justifié et permettra d'évoluer vers une réserve sanitaire de qualité, en oubliant les notions de « corps » et d'« alerte épidémique » et en remettant les choses à leur juste niveau après les récentes expériences.
(Les amendements nos 241 , 242 et 243 sont successivement adoptés.)
(L'article 10, amendé, est adopté.)