Je reste inquiet car j'ai compris, à entendre les explications quelque peu embarrassées lues par M. le secrétaire d'État, qu'aucune satisfaction ne pourrait m'être apportée.
Je rappelle cependant qu'il s'agissait initialement, et encore aujourd'hui à mes yeux, d'un régime dérogatoire au droit commun. Je me permets une nouvelle fois d'insister sur l'absolue nécessité que cette demande de subvention puisse être satisfaite dans les meilleurs délais.
Je compte sur vous, monsieur le secrétaire d'État, pour relayer les inquiétudes de la population de Blaye auprès de M. Le Maire. Je vous en remercie.