Il est urgent d'agir et de renoncer à cette politique purement comptable et uniquement fondée sur une logique d'économies budgétaires, pour que l'éducation redevienne enfin une priorité nationale.
Il est temps de mettre en oeuvre des mesures adaptées qui tiennent compte des besoins spécifiques des territoires et des établissements déjà gravement mis en difficulté par les suppressions de postes. Va-t-on enfin entendre le désarroi de la communauté éducative et la colère des parents d'élèves ? Va-t-on enfin corriger les mesures de redéploiement annoncées pour notre académie ?