Je tiens à m'exprimer brièvement, n'ayant pu défendre mon amendement de suppression en début de séance.
Cet amendement n° 277 rectifié touche véritablement un point dur, qui suscite des interrogations.
Tout d'abord, s'agissant du déroulement de nos débats, les travaux ont été suspendus depuis le 13 avril. Nous sommes aujourd'hui le 18 mai et, à 18 heures 30, cet amendement n'était toujours pas disponible sur le site de l'Assemblée nationale. Expertiser quatre pages en cinq minutes, c'est très difficile.