Madame la secrétaire d'État, j'ai bien entendu votre réponse ; il reste que la prévention a relativement échoué et que le moustique prolifère et constitue une source de nuisance.
Tôt ou tard, dans notre région très touristique, nous connaîtrons des cas graves de transmission à l'homme. Même si nous savons réagir en termes de soins, devons-nous nous interdire de pratiquer des opérations de démoustication massive alors que nous pourrions utiliser des produits biologiques ? Il est possible d'agir et, tôt ou tard, nous serons contraints de le faire. Je voulais simplement que M. le ministre en soit prévenu, en espérant que, finalement, la raison l'emportera.