L'aquaculture ne me fait pas peur car elle ne fait pas de concurrence directe à la pêche : c'est une production complémentaire.
Sur l'éolien off-shore, ma position est très claire : à chaque fois, je défends le souhait des pêcheurs de l'endroit. De plus, j'ai exigé que la pêche française, qui va être privée de la possibilité de travailler dans certaines zones, récupère au moins 35 % de la taxe éolienne, pour pouvoir les réinvestir dans l'économie de la pêche.