Monsieur le président, madame la ministre, mes chers collègues, partout en France, et encore aujourd'hui devant l'Assemblée nationale, la mobilisation démontre qu'on ne peut pas faire fi de la transparence et imposer aux citoyennes et aux citoyens une menace pour leur environnement, les nappes phréatiques et la santé publique.
Pour une fois, nous avons la possibilité de mettre en oeuvre le principe de précaution en amont des futures catastrophes annoncées. Ne nous en privons pas.
La semaine dernière, les députés ont pris la courageuse décision d'interdire les phtalates, les parabènes et les alkylphénols, dont les risques sur la santé sont avérés.