Je tiens à rappeler les efforts réalisés depuis une trentaine d'années par les chasseurs et les progrès considérables qu'ils ont faits, comme d'autres catégories : ils ont suivi des formations afin de mieux comprendre le fonctionnement des animaux sauvages des forêts et des prés et ils ont considérablement amélioré leur façon de gérer la biodiversité. Il y a vingt ans, ce n'était pas le cas.
Le fait d'ajouter, dans l'article L. 420-1 du code de l'environnement, que les chasseurs contribuent également à la conservation de la biodiversité ne peut que renforcer leurs relations avec les chambres d'agriculture, les rapprocher des agriculteurs et les inciter à poursuivre leur formation.
Je suis évidemment très favorable à cet article.