Ce phénomène n'est pas toujours lié à une insuffisance de chasse – Jérôme Bignon l'a d'ailleurs lui-même reconnu en posant sa question –, mais peut résulter de modifications de l'écosystème, par exemple, celles liées à certaines pratiques agricoles.
Depuis le mois d'avril, j'ai été interpellé à de nombreuses reprises par des propriétaires de Loire-Atlantique mais aussi des Yvelines, totalement désemparés face aux pressions très fortes qu'ils subissent en exerçant leur droit d'opposition à la chasse. Nous ne souhaitons pas que, demain, les préfets accentuent encore ces pressions à l'encontre de propriétaires qui ont droit à la tranquillité s'ils ne souhaitent pas chasser.