C'est effectivement une question que je me suis posée en procédant aux auditions. J'ai observé que tout s'était fait dans la transparence à l'égard de nos alliés européens qui n'ont formulé aucune réserve, ni aucune objection à ce traité. Ils ont même témoigné un intérêt pour cette démarche très novatrice, mais sans aller plus loin.
Les États-Unis n'ont pas davantage cherché à freiner le projet, alors qu'on aurait pu penser qu'ils s'étonneraient de voir le Royaume-Uni s'engager dans cette coopération nouvelle et si importante. La nouvelle administration américaine est peut-être plus ouverte que la précédente.