Et ensuite, puisque les autres commissions, tout comme d'ailleurs les deux que je viens de nommer, n'auront plus de texte substantiel à se mettre sous la dent, tout le monde se mettra au repos ; ou alors on organisera des débats généraux en commission, des colloques, etc., et autres choses très plaisantes ; mais il ne se passera pas grand-chose dans notre assemblée durant les neuf mois restants.
Je me préoccupe aussi des conditions de travail du Conseil constitutionnel, qui devra étudier en quelques jours, voire en quelques heures, à la fin du mois de décembre, le contenu des deux brouettes que je viens de décrire rapidement.