Nous ne pouvons en effet que nous féliciter que « la Commission européenne reconnaisse désormais la nécessité d'adapter les règles du droit de la concurrence aux spécificités de la filière laitière ». Ne sommes-nous pas toutefois dans le cadre d'une simple déclaration d'intention ? Comment passer à la phase de concrétisation ? A-t-on élaboré une stratégie à cet effet ? L'audition du commissaire européen à l'agriculture par notre Commission sera sans doute, de ce point de vue, pleine d'intérêt.