Nous voilà donc rassurés : Mme Bettencourt ne se trouvera pas dans l'obligation de vendre l'île d'Arros. Vous savez combien il est dur de se séparer d'un patrimoine, surtout d'une terre, lorsqu'on a travaillé toute sa vie. (Sourires.) « C'est le fonds qui manque le moins », disait La Fontaine.
Monsieur le ministre, nous vous avons écouté ; vous êtes talentueux. Toutefois, quand je vous regarde, j'hésite toujours : ai-je affaire à Harry Potter ou à David Copperfield ? (Sourires.) Sans doute un petit mélange des deux. Vous avez le même caractère juvénile…