Peut-être m'accorderez-vous trois minutes, monsieur le président ? (Sourires.)
Monsieur le ministre, personne ne doute de votre volontarisme. Je ne vous le dis pas parce que vous un élu du département de l'Eure, mais parce que j'en suis convaincu : vous êtes un excellent ministre de l'agriculture et le monde agricole sait à quel point vous êtes là pour le défendre.
Sur la question de la légalité européenne, on ne peut effectivement tenir deux argumentations radicalement contraires en l'espace de deux ans. Mais derrière cela, il y a un sujet de fond : l'harmonisation et la convergence européennes.