Si l'on pouvait cesser de persister dans l'erreur, cela serait une bonne chose : comme l'a très bien dit Michel Raison, ce sont les producteurs qui paieront.
Annick Le Loch sait l'intérêt que je porte aux pêcheurs. C'est probablement l'un des secteurs qui souffre le plus aujourd'hui. On en parle moins parce que les pêcheurs sont moins nombreux. Mais ce n'est pas parce qu'ils ne sont que 15 000 embarqués sur des bateaux qu'il faut oublier les difficultés terribles qu'ils traversent actuellement.