Monsieur le député, ce que vous dites des annonces que la direction d'Aubade a faites le 16 juin dernier est malheureusement exact : 104 emplois sur 132 seront supprimés sur le site de Saint-Savin. C'est un nouveau coup dur après la délocalisation, il y a près de deux ans, d'une partie de la production en Tunisie, qui s'était soldée par la suppression de 142 emplois.
Face à cette situation, il faut agir dans deux directions. Il s'agit, d'une part, de tenter de reclasser le plus grand nombre possible de salariés affectés par les décisions de la direction.