…puisque ce sont les corporations ou les divers syndicats qui vous imposent – et nous imposent – de passer des soirées – de longues soirées, parfois drôles – pour remanier la loi, des soirées au cours desquelles Mme Hubert, que Jean Mallot regrette beaucoup de ne pas voir, nous manque beaucoup.
Plus sérieusement, nous passons du temps à défaire une loi qui n'était déjà pas très coercitive, pour la rendre complètement libérale. On est en train de laisser faire, de laisser aller, de renvoyer d'un revers de main avec des « Circulez, il n'y a rien à voir ! », de dire que tout va bien et que la médecine libérale produit les résultats attendus. Personne ne voit les déserts médicaux.